Minute Manga #11.

La Minute Manga est un récapitulatif de mes lectures mangas sur un mois. Puisque j'ai décidé de me remettre aux mangas en 2018 et que je ne les chronique pas, j'ai eu l'idée de vous faire un petit point tous les mois pour vous parler des tomes que j'ai lu, ce que j'en ai pensé, de quoi ça parle, et vous donner envie (ou pas) ♥

Qu'ai-je lu entre le 25 février et le 25 juillet ?

- Oui, j'ai beaucoup de retard 😅 -

(Koe no Katachi) de Yoshitoki Oima.

7 tomes • Série terminée.

Manga Shonen.

Mots clefs : Surdité / Amitié / Harcèlement / Acceptation / Dépression / Dénouement / Fin ouverte.

De quoi ça parle ? Shoko, une jeune enfant sourde a changé d'école parce qu'elle a été harcelée à cause de son handicap. Mais elle tombe dans la classe de Shoya, qui ne la comprend pas, qui ne l'accepte pas, et qui décide d'ouvrir les hostilités... Une cruauté de gamin qu'il réalise après coup. Ce n'est que quelques années plus tard qu'il cherche Shoko pour pouvoir s'excuser proprement.

Ce que j'ai lu ? Tome 5, tome 6 et tome 7.

Ce que j'en ai pensé ? Ma lecture des deux tomes précédents m'avait un peu frustré vis à vis des nouveaux personnages qui s'intègrent à l'histoire et qui étaient brouillon, j'avais également été un peu déçu par rapport à Shoya qui manquait d'un certain aplomb. Ces trois tome-ci sont pour moi beaucoup plus prometteurs et satisfaisants. J'ai terminé la série et j'ai trouvé une conclusion qui m'a plu, avec une fin à demi-ouverte, nous laissant sur une note d'espoir et notre imagination.

Ce sont trois tomes déterminants que je suis contente d'avoir lu à la suite : c'est le dénouement qui commence et qui se termine, là où on pose le fin mot de certaines situations, là où les personnages se révèlent totalement. La dépression de Shoya et celle de Shoko est au centre de l'histoire, car derrière l'acceptation de la différence et leur amitié naissante, ils sont malheureusement très tristes. Les thèmes sont durs et bouleversants. Shoya a été percé à jour par son groupe d'amis et n'assume pas du tout ses actes passés, on voit là une grande souffrance et une incapacité à se pardonner qui est touchante (alors que je suis loin d'être tendre normalement avec ce genre de personnage). Shoko, elle, se dévoile et on découvre que le harcèlement qu'elle a subi a toujours des conséquences aujourd'hui et la jeune fille pense encore que tout est sa faute. J'ai été touché par la fin de cette série et j'ai dit au revoir à ces deux-là avec beaucoup d'émotions.

Note globale : ★★★★☆

(Kuroshitsuji) de Yana Toboso.

27 tomes • Série en cours.

Manga Shonen - Seinen.

Mots clefs : Majordome / Enquête / Société secrète / Croisière macabre / Morts-vivants / Mystère.

De quoi ça parle ? Orphelin, Ciel Phantomhive a hérité des responsabilités de son père. A douze ans, il est à la tête d'une grande fortune et d'une grande entreprise, tout comme il est plus secrètement au service de la reine d'Angletterre afin d'enquêter de manière peu légale sur des mystères londoniens. Il est loin d'être un garçon de son âge et a, comme qui dirait, pactisé avec le Diable...

Ce que j'ai lu ? Tome 12 et tome 13.

Ce que j'en ai pensé ? Ciel et Sebastian embarquent avec Elizabeth et sa famille dans une croisière maudite d'avance. Alors que Ciel et Sebastian enquêtent sur une étrange société secrète qui fait revivre les morts, le bateau est mis sans dessus dessous par ces derniers. Dans une ambiance Titanic-zombies, ce nouvel arc est chargé d'action et ça n'a pas été pour me déplaire. J'ai adoré suivre Ciel qui s'adoucit, surtout avec Elizabeth à ses côtés. Elizabeth, elle, réserve de belles surprises aux lecteurs et à Ciel lui-même ; J'ai été charmée de la voir sous un angle différent ! Elle apporte enfin sa pierre à l'édifice que sont l'histoire et l'univers plutôt que d'être un personnage figurant. Elizabeth n'est d'ailleurs pas la seule à se révéler ici... Et, on n'oublie pas Sebastian, qui malgré les zombies, se retrouvent confronté à deux anciens ennemis : deux faucheuses qui lui feraient bien la peau... J'ai aussi une préférence pour Snake, désormais au service de Ciel, mais ça c'est mon penchant pour les serpents je pense.

En bref, deux tomes mouvementés et plein de retournements, qui prouvent une fois de plus la valeur de la série, et la fin nous donne envie d'enchaîner très rapidement avec les tomes suivants ! Maintenant que nous connaissons un large éventail de personnages et qu'on y est attaché, c'est toujours une sacrée aventure de se plonger dans ce manga.

Note globale : ★★★★★

(Ao Haru Ride) de Io Sakisaka.

13 tomes • Série terminée.

Manga Shôjo.

Mots clefs : Groupe d'amis / Romance / Relation impossible / Mélancolie / Soutien / Drame.

De quoi ça parle ? Futaba est une jeune fille qui a peur de la solitude, si bien qu'elle joue un rôle pour maintenir sa popularité. Mais ses relations amicales sont fausses et la blessent plus qu'elles ne la rendent heureuse. Rien à voir avec le collège où elle avait des amis, et surtout où elle était proche d'un garçon avec qui elle s'entendait bien : Kô. Quand elle découvre que ce dernier est finalement dans le même établissement, elle décide que la rentrée est le moment idéal pour tout changer... Se rapprocher de lui et se faire des amis, des vrais.

Ce que j'ai lu ? Tome 5, tome 6, tome 7 et tome 8.

Ce que j'en ai pensé ? Je ne sais toujours pas ce que je pense de ce manga dans son ensemble... Mon ressenti est en dent de scie, certains tomes sont géniaux et d'autres sont décousus. J'ai tendance à lire les tomes deux par deux, le tome 5 et tome 6 ont pour moi été des déceptions légères, où même si j'ai toujours autant aimé suivre Futaba et ses amis, les pas en avant et en arrière entre elle et Kô ont eu raison de moi. Même avec le niveau du tome 7 et tome 8 que j'ai trouvé largement meilleur, je déteste toujours autant Kô qui est exécrable sans raison valable. Rien n'explique pourquoi il est si méchant par moment et j'ai l'impression qu'on donne simplement un semblant de drame dans sa vie pour le justifier mais ça ne prend pas avec moi. J'ai tout aussi du mal avec le nouveau love interest pour Futaba qui se dévoile et que je trouve franchement possessif et trop calculateur pour être foncièrement gentil, lui aussi...

Bref, je ne sais toujours que penser, que ressentir. Je fais le yoyo. Les deux derniers tomes que j'ai lu ont été un poil plus reposant, on fait une petite pause dans la surenchère de drame et de situations impossibles mettant la relation entre Futaba et Kô en péril. Futaba prend en assurance aussi et n'hésite pas (enfin) à recadrer Kô. Mais est-ce que le sentiment que j'ai trouvé avec ces tomes va perdurer ? Ca reste à voir.

Note globale : ★★★☆☆

(Kono Koi ni Mirai wa nai) de Koko Suwaru.

2 tomes • Série terminée.

Manga Shôjo - Seinen.

Mots clefs : Transidentité / Groupe d'amis / Découverte de soi / Chemin personnel / Tranche de vie.

De quoi ça parle ? Yûji a toujours su qu'elle était différence mais ce n'est que récemment qu'elle a découvert pourquoi. Elle est une femme, prisonnière d'un corps d'homme. Sa vie a toujours été monotone et elle cache qui elle est réellement en public, taisant ses aspirations. Surtout qu'elle a un faible pour un jeune homme de son groupe d'amis... C'est en faisant connaissance avec d'autres personnes transgenres que l'espoir commence à naître.

Ce que j'ai lu ? Tome 1 et tome 2.

Ce que j'en ai pensé ? Celle que je suis est un titre qui me faisait extrêmement envie et dont je trouve les couvertures absolument magnifiques. Les illustrations à l'intérieur sont tout aussi douces et jolies, mais je n'ai malheureusement pas trouvé l'histoire à la hauteur et si LGBT-friendly que ça au final, même si je ne suis peut-être pas à ma place pour le dire. Est-ce parce que l'histoire se passe dans une époque où les mœurs étaient plus réservées ? Est-ce parce qu'en plus, l'histoire se situe au Japon ? Allez savoir, autant est-il qu'on ne va pas au bout des choses et ça m'a sauté aux yeux.

Le premier tome est plus nuancé et a ma préférence : on nous présente Yûji, notre héroïne, dans ses sentiments complexes et dans ce qu'elle garde pour elle-même. C'est une personnage très touchant. On nous présente aussi ceux qui gravitent autour d'elle et qui bénéficie également d'une trame et d'une place dans le manga. Malheureusement, deux tomes est bien trop peu pour tout ce beau monde. Il y a beaucoup de personnages au final, beaucoup d'histoires qui se mélangent et qui ne sont finalement pas assez creusées. Le manque d'approfondissement se fait ressentir quand on referme le second et dernier tome car même la situation de Yûji, que je pensais pourtant au centre du manga, reste suspendue. C'est dommage. Dommage parce que Yûji est un personnage sensible, d'une grande tendresse, et elle nous est tout de suite sympathique. On se prend immédiatement d'affection pour elle. J'aurais aimé la voir d'avantage s'épanouir, la voir vraiment sortir de sa chrysalide.

Note globale : ★★☆☆☆

(Ashita wa Docchida!) de Kotetsuko Yamamoto.

3 tomes • Série en cours.

Manga Yaoi.

Mots clefs : Amis d'enfance / Quiproquos / Amour / Baisers / Désir / Vie lycéenne / Amour impossible.

De quoi ça parle ? Plus jeune, à cause de sa beauté androgyne, Kirara était souvent pris pour une fille. Ses voisins, deux frères un peu délinquants dans l'âme, l'ont rapidement pris sous leur aile. Mais c'est en grandissant auprès d'eux que les sentiments de Kirara pour Ken, le frère qui a son âge, se sont développés. Seulement : Impossible de le lui avouer alors que les deux frères n'acceptent pas que leur père ait quitté leur mère pour un homme. Jusqu'au lycée où... Ken l'embrasse par surprise. Un jeu ? Une blague ? Plus ? Kirara en est déboussolé et ne sait plus cerner son ami, ni ses sentiments.

Ce que j'ai lu ? Tome 3.

Ce que j'en ai pensé ? Le jeu du chat et de la souris entre Kirara et Ken se poursuit et ce troisième tome est dans la lignée des deux premiers. Il y a un petit goût romantique amené par le personnage de Kirara qui est sentimental et qui se pose énormément de questions sur ses sentiments qui pourraient être réciproques.

Je ne dirais pas que l'on fait une grande avancée ici mais les rapprochements physiques sont là, venant une fois de plus de la part de Ken. Et on se plonge dans les pensées de Kirara qui ne sait plus du tout où donner de la tête : Est-ce que Ken joue ? Que cherche-t-il ? S'ennuie-t-il, a-t-il besoin d'affection, ou bien est-il amoureux lui aussi ? C'est plaisant de suivre ces deux-là car même si la communication manquent, ils sont tout de même plus soudés qu'ils ne le pensent. Un nouveau personnage est d'ailleurs de la partie, un ancien ami de Ken dont Kirara n'a jamais entendu parler, et un peu de rivalité ne fait pas de mal pour leur relation !

Note globale : ★★★★☆

(Otouto no otto) de Gengoroh Tagame.

4 tomes • Série terminée.

Manga Seinen.

Mots clefs : Acceptation / Vie de famille / Différence culturelle / Homophobie ordinaire / Vie quotidienne.

De quoi ça parle ? Yaichi a perdu son frère récemment, après de longues années sans réels contacts. Il reçoit pour la toute première fois le mari de celui-ci chez lui au Japon. Lui qui ne pensait pas être homophobe se retrouve finalement confronté à des idées toutes faites que la venue de son invité va déconstruire peu à peu. Il peut également compter sur Kana, sa fille, qui voit Mike avec toute l'innocence de l'enfance, heureuse d'apprendre qu'elle a un oncle canadien.

Ce que j'ai lu ? Tome 3 et tome 4.

Ce que j'en ai pensé ? J'ai terminé la série avec ces deux tomes, les deux derniers, et le moins que l'on puisse dire c'est qu'ils m'ont beaucoup plus convaincue que les deux premiers. Alors que je trouvais le début du manga assez mécanique et maladroit à mon goût, la fin, elle, est plus spontanée et a su me plaire.

Le tome 3 est sûrement mon préféré grâce à cette esquisse de famille que l'on voit enfin se dessiner à l'horizon. Les personnages posent enfin des noms sur leurs relations, reconnaissent enfin l'importance qu'ils ont l'un pour l'autre. Ainsi Yaichi se remet en question vis à vis de son frère, et commence enfin à considérer Mike comme son beau-frère et comme un oncle pour Kana. On les voit voyager en famille, avec la mère de Kana aussi, et ce tome nous offre vraiment une douceur et une complicité touchantes. Le tome 4 est dans la même lignée et signe la fin sur une note tendre, pleine d'espoir pour l'avenir. On a décidément bien envie que cette famille continue de correspondre et d'échanger, même si l'heure du départ pour Mike arrive.

Note globale : ★★★★☆

(Living no Matsunaga-san) de Keiko Iwashita.

1 tome • Série en cours.

Manga Shôjo.

Mots clefs : Vie en colocation / Indépendance / Tranche de vie / Sentiments naissants / Romance / Différence d'âge.

De quoi ça parle ? Comme ses parents sont très occupés par sa grand-mère malade, Miko déménage dans la propriété de son oncle qui loue une maison à plusieurs locataires. Pour la première fois, Miko va vivre en colocation avec des adultes qui ne sont pas de sa famille ! Deux autres filles et trois garçons... Et un, en particulier lui fait une drôle d'impression dès le départ : Matsunaga.

Ce que j'ai lu ? Tome 1.

Ce que j'en ai pensé ? Un shôjo qui démarre assez fort. Son côté mignon et ses dessins soignés sont séduisants, et les illustrations nous offrent un personnage masculin qui sort un peu des codes physiquement et ça fait du bien. Son côté hipster est rafraîchissant et très plaisant à l'oeil.

Ce premier tome va peut-être un peu vite pour moi mais je comprends où il veut en venir. Il pose des bases avec les sentiments de Miko qui se révèlent à elle, c'est le fil rouge de l'histoire : elle tombe sous le charme de Matsunaga, l'aîné de la coloc, qui derrière ses apparences strictes est en fait très attentionné. J'ai beaucoup aimé leur duo, le fait qu'ils s'entendent bien et s'apprivoisent au long des pages. On voit bien qu'il y a une alchimie entre qui se développe et qu'il y a là une petite histoire à explorer. L'atmosphère de la colocation, de l'indépendance, est super chouette : tout le monde s'entend bien et le lecteur perçoit les prémices d'un groupe agréable à suivre. Finalement, ce premier tome est une très fine mise en bouche et j'ai très hâte de pouvoir lire la suite !

Note globale : ★★★★☆

(Wotaku ni koi ha muzukashii) de Fujita.

5 tomes • Série en cours.

Manga Josei.

Mots clefs : Geek / Groupe d'amis / Tranches de vie / Couples / Culture manga / Humour / Romance.

De quoi ça parle ? Narumi et Hirotaka sont deux amis otaku, fans de tout l'univers mangas, anime et jeux vidéos, et, ne trouvant personne qui partage leur intérêt, décident de se mettre ensemble... Bienvenue dans le quotidien de ce couple déjanté et de leurs amis, ensemble également, Tarô et Hanako !

Ce que j'ai lu ? Tome 4.

Ce que j'en ai pensé ? Après le tome précédent qui fait une énorme avancée entre Hirotaka et Narumi, en en apprenant déjà plus sur les sentiment d'Hirotaka et nous offrant une scène MÉ-MO-RA-BLE (et beaucoup trop chou), je suis un peu déçue qu'on soit retournée au point de départ et que l'on n'ait pas plus avancé ici. C'est comme si rien ne s'était passé entre eux, or il y avait des moyens de jouer un peu avec leurs rapprochements récents.

Toutefois, pour me consoler... On se concentre beaucoup sur Tarô et Hanako puisqu'on fait la découverte du début de leur histoire qui remonte au lycée ! Et j'aime beaucoup ces deux-là. Ils ont une relation pleine de complicité, de respect et de confiance. Ils se chamaillent énormément mais ils sont tout deux très taquins. C'est touchant de pouvoir les voir dans autre chose que leurs joutes verbales, il y a des moments vraiment mignons et on peut voir que c'était déjà deux caractères monstrueux durant leurs années lycée.

On avance également du côté du frère d'Hirotaka, Naho qui est initié aux jeux vidéos par Kô et c'est à se demander si là aussi il n'y aurait pas de l'amour dans l'air 😏

Note globale : ★★★☆☆

(Sebun deizu) de Venio Tachibana et Rihito Takarai.

2 tomes • Série terminée.

Manga Yaoï - Seinen.

Mots clefs : Début de relation / Camarades / Amitié à amour / Sept jours / Sentiments / Douceur.

De quoi ça parle ? Seryô est connu pour changer de petites amies toutes les semaines. Shino, lui, va de ruptures en ruptures, déçu que les filles ne s'intéresse qu'à son physique. Le lundi matin, en croisant Seryô, le jeune homme agit alors sur un coup de tête : il lui demande de sortir avec lui... Sans se douter que son camarade l'a pris au sérieux.

Ce que j'ai lu ? Tome 1 et tome 2.

Ce que j'en ai pensé ? Seven Days est une romance dont j'ai beaucoup entendu parler. C'est l'histoire de deux jeunes garçons qui enchaînent les relations avec les jeunes filles sans trouver chaussures à leur pied. Toutes les semaines, Seryô donne une chance à la première fille qui se déclare et leur relation durera le temps d'une semaine... Shino, lui, c'est une autre affaire : les filles se basent sur son physique et se font une idée de lui qui n'est pas la bonne. Le désir d'être aimé pour ce qu'ils sont vraiment est quelque chose qui va les réunir. A force d'être plaqué, Shino agit sur un coup de tête et demande à Seryô de sortir avec lui. Une farce qui n'en est pas vraiment une, et que tout deux vont prendre au sérieux.

Seryô n'est pas du tout le Don Juan que l'on pense et que Shino pense, et celui-ci va le découvrir peu à peu. C'est un garçon sensible, solitaire, et qui prend l'amour à coeur. Il est toujours respectueux avec ses petites amies et préfèrent rompre au bout d'une semaine s'il n'y a pas de complicité. Mais la complicité avec Shino est là ; Ils se connaissent déjà un peu, ils participent au même club, ils partagent les mêmes centre d'intérêt et surtout... ils ne sont déjà pas si indifférents l'un à l'autre.

C'est une romance et une histoire vraiment super mignonne. Les deux personnages sont dans la recherche de l'amour et dans la découverte de leurs sentiments naissants. C'est doux, mignon, reposant. Seven Days est un Boy's Love touchant et agréable à lire.

Note globale : ★★★★☆

Au prochain rendez-vous (enfin je l'espère) :

Black Butler, Haikyû!!!, @Ellie, ...